IAS 16: Immobilisations corporelles - Problématique
En schématisant quelque peu, les immobilisations corporelles peuvent être classées dans la catégorie des outils de production dont la vocation est d’être consommée (au moins pour une part significative de leur valeur) dans le processus de fabrication. Comme par définition la durée de vie des immobilisations corporelles est supérieure à celle du cycle de production de l’entreprise, le problème auquel le comptable est confronté est de répartir leur coût de façon systématique et rationnelle par le biais de l’amortissement.
On reconnaît à la plupart des terrains une durée de vie infinie, mais on envisage rarement de reconnaître que certaines immobilisations corporelles puissent avoir une durée d’utilité indéfinie. Un immeuble d’habitation convenablement entretenu a par exemple une durée de vie très longue qui dépasse souvent l’horizon prévisible. Faut-il l’amortir ?
Dans le cadre du coût historique, le coût amorti sera généralement inférieur au coût de remplacement. D’où l’idée de réévaluer les immobilisations et donc, par voie de conséquence, les immobilisations correspondants. Faut-il réévaluer les immobilisations ?
L’amortissement permet de répartir le coût, il ne dispense pas de s’assurer que la valeur de bilan est bien supérieure ou égale à la valeur réalisable. Si ce n’est pas le cas, il faut déprécier l’immobilisation corporelle. Si l’on précède à un calcul dépréciation chaque année, il n’est plus obligatoire d’amortir...
On reconnaît à la plupart des terrains une durée de vie infinie, mais on envisage rarement de reconnaître que certaines immobilisations corporelles puissent avoir une durée d’utilité indéfinie. Un immeuble d’habitation convenablement entretenu a par exemple une durée de vie très longue qui dépasse souvent l’horizon prévisible. Faut-il l’amortir ?
Dans le cadre du coût historique, le coût amorti sera généralement inférieur au coût de remplacement. D’où l’idée de réévaluer les immobilisations et donc, par voie de conséquence, les immobilisations correspondants. Faut-il réévaluer les immobilisations ?
L’amortissement permet de répartir le coût, il ne dispense pas de s’assurer que la valeur de bilan est bien supérieure ou égale à la valeur réalisable. Si ce n’est pas le cas, il faut déprécier l’immobilisation corporelle. Si l’on précède à un calcul dépréciation chaque année, il n’est plus obligatoire d’amortir...
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